und zwar dabei diesen text
II y a six enfants dans la famille Pasquier. Raymond Pasquier, le père, qui a un petit emploi, vient de commencer des études de medecine. Pour lui, l'avenir de ses enfants est clair. Des qu'ils auront passé leur bac, ils iront à l'université. Laurent, l´un des enfants des Pasquier raconte:
à l'automne, Joseph, mon frère aîné, a refusé de continuer ses études au lycée. Papa était furieux. «Si ce n'est pas de la paresse pure et simple, donne-nous tes raisons.
Des raisons, j'en ai beaucoup. D'abord, je ne suis pas fait pour les
études. Oh! Je ne suis pas plus bête qu'un autre, mais toutes ces
histoires ne me disent rien du tout. Ce n'est pas mon genre. Et je suis même sûr que les trois quarts des choses qu'on nous apprend sont
parfaitement inutiles, au moins pour mon avenir à moi. Quand j'aurai
fait trois ans de lycée, je ne serai pas plus avancé. Et puis, il faut
toujours acheter des livres et des fournitures. Nous n'avons pas les
moyens d'acheter tant de choses.
-C'est une mauvaise raison. Quand on a vraiment envie d'apprendre, on les vole plutôt, les livres!
- Raymond, a dit maman, ne lui donne pas, même pour rire, un conseil de ce genre.
- II sait très bien de quoi je parle. Des livres, des livres! On les fait sortir de terre quand on en a vraiment besoin!
Mon père avait l'air profondément décu. Puis il a dit:
- Que veux-tu faire?
- Si je continue mes études, je resterai bien huit ou dix ans sans gagner d'argent. Mais si je commence
tout de suite dans le commerce ... Dans deux ans, j'aurai fini mon apprentissage et je pourrai gagner ma vie tout de suite
Le commerce! Le grand mot était lâché. En ce temps-là, on ne disait pas encore «les affaires» comme on dit aujourd´hui. On disait de manière plus modeste et plus precise, «le commerce».
Joseph est donc entré dans «le commerce». Une entreprise l'a pris pour deux ans en apprentissage. Papa ne comprenait pas. II ne supportait, lui, aucune dépendance. Les mots d'emploi, d'employe lui donnaient des crises de rage.
J´ai raconté rapidement cette petite scène familiale. Mais j'y pense volontiers quand Joseph dit aujourd´hui «Mes parents m'ont demandé d'arrêter mes études. Ca ne m'a pas empêché d'arriver, bien sûr. Mais quand meme, j'étais capable d'aller bien plus loin avec des diplômes. Ils ne m'ont pas donne les mêmes chances qu'aux autres, je veux dire, les petits ...»
ins deutsche zu bringen
und diese sätze
Wenn es dieses Wochenende regnet, fahren wir nich in die Berge
Wenn ich Arbeit gefunden hätte, wäre ich im Oktober nach Frankreich gefahren
Wenn ich Zeit hätte, würde ich dich besuchen
Wenn ich ihm morgen treffe, gebe ich ihm das Buch
Wenn ich zuhause gewesen wäre. hätte ich die Vokabeln gelernt
Die kleinen Jungs hätten sich gewaschen, wenn es ihre Mutter gesagt hätte
ins französische zu bringen
wäre sehr dankbar für die hilfe